L’acquisition du langage, du vocabulaire… de tous ces mots qui veulent dire tant de choses, et tous ces mots qu’il nous reste encore à inventer, pour décrire le monde dans lequel on vit…
L’acquisition du langage, du vocabulaire… de tous ces mots qui veulent dire tant de choses, et tous ces mots qu’il nous reste encore à inventer, pour décrire le monde dans lequel on vit…
Ah ! le monde dans lequel on vit …
Ah ! se faire Electroniquer…
Dans la chanson « la Fée Electricité » de Zoufris Maracas on trouve bien 300 mots pour illustrer ce beau néologisme:
https://youtu.be/Zk6m5nXjcEY
« Pour un peu d’électricité
on hypothèque l’humanité
pour quelques heures de kilowatts
on se retrouve à quatre pattes
prêt à se faire sodomiser
par la fée électricité
qui nous ferai tranquillement
vendre notre femme et nos enfants.
les petit gars de l’EDF
disent que le vent ça suffit pas
que le soleil c’est pas bézef
que l’hydrolien çà marche pas
pour assurer le samedi
la consommation d’énergie
y a rien qui peut mieux faire l’affaire
qu’une bonne vielle centrale nucléaire.
Une terre par tête mais tous la gueule parterre (quarto)
Car ce qu’ils oublient de vous dire
pour le meilleur comme pour le pire
c’est qu’le cadeau qu’ils vous ont fait
il va falloir s’en occuper
pour vos enfants ça peut aller
vous aurez l’temps d’leur expliquer
qu’z’êtes fait niquer sur une affaire
du nom de centrale nucléaire
mais les enfants de vos enfants
les p’tits enfants de vos p’tits enfants
allez leur dire, la belle affaire
qu’ils en ont pour cent millénaire …
Des générations d’enfilés
par la fée électricité
pour que notre foutue société
puisse regarder sa télé
Une terre par tête mais tous la gueule parterre (quarto)
Pour quelques tonnes de CO2
On hypothèque l’humanité
On s’échange ça comme on peut
Au rendez vous de l’OMC
Pour quelque baril de pétrole
On butterait la terre entière
Mais mon confort et ma bagnole
Mérite bien une petite guerre
Pour une centaine d’abrutis
Qu’on a trop longtemps laissé faire
Des businessmen et des nantis
Qui évoluent en hautes sphères
Des politiques ramollis
Des industriels grabataires
on se retrouvent tous punis,
Tous la gueule parterre
Une terre par tête mais tous la gueule parterre (quarto) »